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Plus encore que Life is Strange, Before the Storm est une véritable ode à l’adolescence avec ce que ça implique de conneries, de questionnements existentiels et de sentiments exaltés pas toujours justifiés. Loin d’être idéal, ni sur le plan technique, ni sur celui de la narration, le titre de Deck Nine Games, est un poil décevant au regard de ce qui avait été réalisé par leurs prédécesseurs. Mais comme un témoignage à ses propres imperfections, Before the Storm démontre également que ce n’est pas parce qu’on fait des erreurs, qu’on ne peut pas être aimé.

Pour eux, mais aussi pour les différents revendeurs, qui sont d'importants partenaires pour les éditeurs de jeux vidéo. Ouvrard nous a ainsi expliqué l'intérêt qu'ont les éditeurs à accompagner les revendeurs vers le dématérialisé, afin que la transition soit plus simple pour eux. Le directeur de Xbox France ne croit pas, lui, au tout-dématérialisé. Mais le dématérialisé prend une place toujours plus importante dans les habitudes des joueurs et il faut s'y préparer, dès maintenant, en partenariat avec les revendeurs. Pour Hugues Ouvrard, l'avenir, c'est le digital at retailer : la possibilité d'acheter dans les boutiques traditionnelles, des jeux dématérialisés. Des boutiques où la vente de jeux physiques aura toujours largement de la place, même dans dix ans. Une mutation nécessaire et profitable aux deux partis, et qui semble plus en adéquation avec le quotidien d'une vaste majorité de joueurs.

« Le temps passe vraiment vite. Rassembler l'équipe a demandé de gros efforts, mais j'ai le sentiment que celle que nous avons maintenant est la bonne. Le vrai combat commence ici », remarque d'abord Yû Suzuki. De fait, Ys Net annonçait encore tout récemment avoir fait appel au studio indien Lakshya Digital, qui travaille désormais sur la modélisation des nombreux personnages du jeu. Selon Yû Suzuki, Shenmue III héberge actuellement une centaine de personnages, dont la jeune fille du temple dévoilée il y a quelques semaines. Si rien n'était en place sur le plan de l'organisation humaine, au moins le moteur était prêt dès le départ, lui. Yû Suzuki se félicite ainsi du choix de l'Unreal Engine grâce auquel Shenmue III sera plus joli que dans ses projections. « Même s'il y a bien sûr des choses que l'on ne pourra pas comparer avec les jeux AAA, les graphismes sont meilleurs que ce que j'avais initialement envisagé et ils commencent à prendre forme », déclare celui qui avait jusqu'ici l'habitude de programmer uniquement avec des outils maison.

Au final, ce premier contact avec SoulCalibur VI nous laisse un sentiment mitigé. On est partagé entre l’excitation de remettre les mains dessus, et la crainte d’avoir affaire à un épisode où le skill devra fermer sa gueule. Avec seulement Mitsurugi et Sophitia à se mettre sous la dent, difficile de se faire une idée précise du gameplay et de son équilibre, mais entre le Reversal Edge que l’on peut déclencher à l’infini, le Critical Edge qui sort en n’appuyant que sur un seul bouton, ou encore la Guard Impact qui contre dans tous les sens, on n'est pas vraiment rassuré. Okubo-san nous a promis que le jeu était un condensé du meilleur de SoulCalibur, et que le chantier était encore loin d’être fini. On prie pour qu'il dise vrai. En attendant, on rappelle que SoulCalibur VI est prévu pour 2018 sur Xbox One, PC et PS4.

Au final, ce premier contact avec SoulCalibur VI nous laisse un sentiment mitigé. On est partagé entre l’excitation de remettre les mains dessus, et la crainte d’avoir affaire à un épisode où le skill devra fermer sa gueule. Avec seulement Mitsurugi et Sophitia à se mettre sous la dent, difficile de se faire une idée précise du gameplay et de son équilibre, mais entre le Reversal Edge que l’on peut déclencher à l’infini, le Critical Edge qui sort en n’appuyant que sur un seul bouton, ou encore la Guard Impact qui contre dans tous les sens, on n'est pas vraiment rassuré. Okubo-san nous a promis que le jeu était un condensé du meilleur de SoulCalibur, et que le chantier était encore loin d’être fini. On prie pour qu'il dise vrai. En attendant, on rappelle que SoulCalibur VI est prévu pour 2018 sur Xbox One, PC et PS4.

Du côté des fonctionnalités et des améliorations du gameplay. Catherine : Full Body est annoncé comme étant accessible au plus grand nombre de joueurs, même ceux qui ne sont pas nécessairement fans des puzzle-games. À l'inverse, les joueurs à la recherche de grands défis pourront s'essayer à de nouveaux challenges, plus complexes, disponibles dans le jeu s'ils le souhaitent. La jouabilité du jeu a par ailleurs été complètement revue afin, encore une fois, de pouvoir séduire le public actuel tout en restant fidèle au jeu originel. Que vous soyez fans de puzzles ou bien de narration, il y aura un mode de jeu pour ravir chacun d'entre vous. Notons également que de nouvelles fins alternatives seront ajoutées, de nouveaux épisodes seront disponibles en jeu, ainsi que de nouvelles scènes d'animation et de nouveaux événements.

Du côté des personnages, on retrouve bien évidemment Vincent, le protagoniste de Catherine. Jeune ingénieur dans la trentaine, Vincent fuit le monde réel tant que possible et refuse de se plonger dans le travail ou l'amour stable. Sa compagne, Katherine, est également de retour, et elle souhaite toujours qu'ils se marient ensemble afin de mener une vie bien rangée. L'élément perturbateur du premier jeu, Catherine, est évidemment de nouveau présente et entrainera Vincent dans un monde cauchemardesque, aussi bien dans la réalité que dans ses rêves.

La nouveauté réside dans la présence d'une troisième "Catherine". Il s'agit de Rin, une jeune pianiste qui a récemment été engagée par le bar le "Stray Sheep", où se déroule l'action du jeu. Elle est directe et franche, mais particulièrement aimable envers ceux qu'elle rencontre. Son véritable nom ou encore son âge ne sont pour le moment pas connus, on sait simplement d'elle qu'elle provoque un véritable phénomène d'attraction chez les personnes qui croisent son chemin, bien qu'elle n'en soit pas conscience. Elle apaisera d'ailleurs les tourments de Vincent, causés par Catherine.

Le jeu sortira au Japon sur PlayStation 4 et PlayStation Vita en hiver 2018, si la localisation en Europe a été annoncée, aucune date n'a été communiquée pour le moment. Pour vous faire patienter, on vous laisse avec les dernières images disponibles à ce jour de Catherine - Full Body :

Que dire de tout cela ? C’est bon de jouir de plusieurs chapitres, lieux et personnages supplémentaires sans débourser un seul centime. Dans l'ensemble, les développeurs ont fait de l'excellent travail et ont su bien agencer les séquences pour divertir comme il se doit dans le mode Histoire « Résurrection ». La partie multijoueur, elle, est agréable, les deux cartes ajoutées apportent un léger vent de fraîcheur pour les fans qui commençaient à tourner en rond dans Star Wars Battlefront II. Bref, ne cherchez plus, et faites tout simplement cette mise à jour pour pénétrer dans ces mondes sympathiques distribués par DICE et EA.

L'année 2017 a été marquée par le retour en grâce du shooting game au “par cœur” avec Cuphead. Earth Defense Forces 5 est complètement à l’opposé de cette philosophie. On ne peut pas l’apprendre par cœur, il faut ressentir le champ de bataille, improviser. C’est le jeu vidéo quand il va au plus essentiel, un trip complètement viscéral. La preuve, c’est qu’on crie souvent. Quand on ne crie pas, dans Earth Defense Force c’est une tradition, on chante, surtout quand on joue en multi et qu’il en sort de partout. Il suffit qu’un des joueurs déclenche une des chansons via son menu de communication. On entend alors un canon guerrier, un thème inspiré de la musique des magasins Yodobashi Camera. Au milieu du champ de bataille, un autre joueur va aussi se mettre à chanter. Et puis un autre. A la fin, on se bat avec l’énergie d’une cacophonie enjouée. Plus rien n’a d’importance que le combat et ses alliés. Earth Defense Force est le seul à s'embarrasser de détails aussi triviaux. Contrairement à tous les autres jeux de tir, c’est le seul qu’on traverse en riant et en chantant, recouvert d’entrailles d’insectes. Quand on gagne, c’est la main sur le cœur.

Porté par un concept fun et efficace, Gang Beasts fait partie de ces titres idéals pour une soirée entre amis. Pour le reste, le titre signé par l'équipe de Boneloaf manque un peu trop de consistance s'il veut nous accrocher sur la durée, entre des modes redondants au nombre trop limité, l'absence de système de score et l'ennui qui peut vous gagner sur des parties en ligne dans le cas ou vous vous faites sortir dès le départ. Au regard des corrections - comme son mode online bien plus stable qu'il y a quelques semaines - déjà réalisées par les développeurs, gageons que Gang Beasts saura se montrer encore plus complet à l'avenir pour gommer ses quelques défauts