[Sega Saturn] Strikers 1945
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[Sega Saturn] Strikers 1945
En 1945, les peuples de la terre s'unissent face à une nouvelle menace. Menace encore plus belliqueuse... qu'eux-mêmes ! Un an après Gunbird, Psikyo en remet une couche (en arcade) et montre par la suite, comme s'il était encore nécessaire, que la Saturn est la reine des consoles pour l'adaptation des jeux 2D. Si seulement "la masse" avait suivi... mais bon, nous ne ré-écrirons pas l'histoire.
Pour moi, ce sera le Bf-109
Parler de Strikers 1945 est un piège. Pourquoi ? Pour la bonne et simple raison que je vénère ce jeu. Je l'adore. Vais-je réussir à convaincre ceux qui ne le connaissent pas de juste... l'essayer pour voir ? Si vous aimez les shoots et n'y avez jamais joué, sautez le pas ! Puis rien ne vous empêche de l'essayer avec un ami, le mode deux joueurs étant chaudement recommandé. Plus on est de fous...
Forteresse volante. Et c'est pas la plus grande !
Je ne suis pas un fan des manic' shooters. Des softs comme Mars Matrix, j'y joue, mais ce n'est pas ma tasse de thé. Si vous êtes comme moi un fan oldschool du shoot'em up, Strikers 1945 vous offrira un challenge difficile mais jouable ! On sait à chaque partie qu'il est possible d'aller plus loin et la motivation n'en est que plus grande ! Le top du shoot à scrolling vertical.
Des boss qui seront de plus en plus coriaces !
Un univers basé sur la seconde guerre mondiale, une jouabilité identique à Gunbird, des boss qui revêtissent plusieurs formes, des power-ups qui vous donneront une puissance de feu de folie... Le jeu comporte cinq stages. Mais il y a 4 stages de base qui seront sélectionnés aléatoirement pour débuter la partie. Chaque avion est différent : vitesse, puissance... Et surtout il faudra vous adapter aux "bombes" et la spéciale (bouton laissé appuyer 2/3 secondes) de chacun. A vous de tous les essayer afin de choisir finalement celui qui convient le mieux à votre style.
This is the End. P-38.
Pour finir, il m'est impossible de ne pas parler du "bonus" que comporte ce jeu. En effet, si vous êtes un pro, il vous sera possible de voir à la fin du jeu, une facette inattendue du pilote de votre appareil. Vous me connaissez, je n'ai pas pu faire autrement que de vous en montrer trois. Inutile de vous préciser où se trouvent ces trois screenshots dans cet article. Arrêtez de mater, lisez un peu !
Das ist fertig.
Oui, je sais, moi aussi j'aime faire travailler mes yeux. Mais n'allez pas croire que d'accéder à ces images soit une balade de santé. Il vous faudra réussir à terminer le jeu deux fois avant d'y avoir droit. La difficulté étant assez corsée, je vous souhaite bon courage. Lorsque je vous disais que c'était pour les pros...
Dis donc Tina, tu sais encore bouger dans le cockpit ?
Ainsi se clos cet article sur l'un des shoots auquel je tiens le plus. Tout ce que j'aime se trouve dans ce soft (et pas seulement les images de fins, médisants !). Et comble du bonheur, il vous sera possible de continuer à prendre votre pied sur les 3 autres jeux que compte cette série. L'épisode ultime se trouvant pour moi sur Neogeo. Mais nous verrons cela plus tard...
Un test rédigé par:
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Genre : Shoot'em up
Date de sortie
28 juin 1996 (Japon)
Multijoueur : 1 à 2
MEDIA : CD ROM
Psikyo rime avec Strikers 1945, je sais ça ne rime pas mais bon. Tout amateur de shmup connait la série des Strikers 1945 qui sont aux nombres de 4 à ma connaissance. Quand on a joué à Strikers 1945 et bien c'est un peu comme si on avait joué à tous les shoots Psikyo de l'époque en fait, car le gameplay reste assez similaire.
D'entrée il y a 6 avions au choix, ce qui n'est pas rien et chacun nous force à changer de technique pendant le jeu. L'amateur prendra le P-38 mais avec le temps il finira par prendre un avion plus complexe, disons qu'il faudra avoir plus de couilles pour blaster de l'ennemi, par exemple avec le Zero. Le jeu est fluide et ça coule tout seul, on avance sans jamais souffrir de ralentissements. Il faut dire que l'écran n'est pas submergé de tirs ennemis, c'est un shoot a l'ancienne, ca j'aime.
Le jeu possède, comme tout les jeux Psikyo, ce défaut ou de cette qualité, (pour moi c'est les deux), la longueur des stages qui se révèle très courte, 1 à 2 mn de stage et ensuite c'est le boss qui dure presque aussi longtemps que le stage lui-même. C'est un défaut pour la durée de vie et c'est aussi une qualité car à chaque fois que je loose, je refais une partie, c'est très fort psychologiquement, dans ma tête je me dis que les stages sont courts et j'en ai pas pour longtemps à revenir à l'endroit où je suis mort. A ce petit jeu là on peut rester des heures à essayer d'avancer sans cesse et grapiller ses scores pour gagner une vie (600 000 ou 800 000 points).
Les boss sont transformable , un point fort chez Psikyo. Les musiques sont très axées militaires, bon point, on dirait du Metal Slug. Outre le tir de base, il y a le super tir, on maintient le bouton tir et les satellites font leur travail et en plus on peut blaster par dessus, que demande le peuple ?
Un grand shoot à l'ancienne
Un test rédigé par:
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