News jeux PS4

En effet, Ubisoft a envoyé une version de Watch_Dogs dans les bureaux de Ninemsn, une société de médias numériques, à destination d'un journaliste afin que celui-ci puisse découvrir le titre. Mais tout ne s'est pas déroulé comme prévu...

Le journaliste, qui ne travaille pas sur les jeux vidéo, a donc ouvert le carton qui renfermait un coffre-fort. Celui-ci était accompagné d'une note lui demandant de consulter sa boite vocale, dans laquelle il aurait dû trouver un message précisant qu'il allait recevoir quelque chose en rapport avec le jeu.

Pour des raisons encore indéterminée (apparemment le journaliste n'a pas de boite vocale), il n'a pu obtenir le message...

Et lorsque le coffre-fort s'est mis à biper, la panique a gagné les employés, les obligeant à déserter les locaux, faire venir la police locale et les démineurs. Ces derniers ont ensuite ouvert le coffre pour y trouver une copie de Watch_Dogs et quelques goodies.

Cette action promotionnelle a ainsi mal tourné et dérangé tout les personnes présentes. Ubisoft a donc présenté ses excuses dans un communiqué et promet que la situation ne se reproduira pas.

Détail intéressant : le rédacteur en chef n'a toujours pas avalé la pilule et estime que Ubisoft, ou son agence de relations publiques, se sont laissés dépasser par leur créativité.

Preuve qu'à force d'en faire trop...

En l'état actuel, Destiny laisse un léger arrière goût amer. Si le mécaniques principales du jeu fonctionnent plutôt bien et que les divers emprunts en termes de features offrent une certaine alchimie, force est de constater que plusieurs points sont plus qu'inquiétants. Passé la découverte et en grattant un peu le vernis, on constate qu'à vouloir être bon partout le jeu n'est excellent nulle part. On arrive à s'ennuyer à force de répéter les mêmes types de missions, et ce ne sont pas les quelques petites mises en scène essayant de dynamiser un monde trop statique qui viennent relever tout ça. Certes, l'aspect coopératif du titre arrive à remonter la pente, mais les lacunes sur la partie sociale nous replongent indéniablement vers une expérience solo assez pauvre.

E3 2014> Destiny : les impressions de l'alpha - Screenshot éditeurOn s'interroge aussi sur le public visé par le titre. Les amateurs de MMO passeront très clairement leur chemin au vu de ce que peut offrir la concurrence. Face à Guild Wars 2, WoW ou une tripotée d'autres F2P faisant bien plus que le minimum syndical, Destiny aura fort à faire dans sa version finale pour se démarquer. Les fans de FPS pur jus se tourneront pour leur part vers les cadors du genre (et ce n'est pas l'offre qui manque vu les annonces de l'E3). Reste les fans d'un genre un peu bâtard, qu'on pourrait qualifier grossièrement de Borderlands mieux fini, offrant aux joueurs une expérience bien plus transparente, et ce grâce à une partie technique qui réalise un sans faute. Enfin, une autre frange de joueurs pourraient bien trouver leur bonheur sur le soft de Bungie. Les personnes n'ayant jamais testé de MMO, et pas forcément les plus exigeantes en terme de FPS, dénicheront en Destiny une expérience rafraîchissante et un univers assez riche, offrant enfin ses lettres de noblesse aux hardwares next-gen. On attend donc la sortie de pied ferme, en espérant que le titre arrivera à nous tenir en haleine sur le long terme et que quelques petits ajustements sauront gommer ces points négatifs.

Quoi qu’il en soit, The Order 1886 appelle une prise en main plus poussée pour nous révéler la totalité de ses charmes - son univers et son scénario pourraient par exemple créer une (bonne) surprise, mais on compte surtout sur Ready at Dawn pour rassurer sur son gameplay, pour l’heure cantonné à ce que font tous ses concurrents depuis des années. Quand se décarcasse à réinventer Londres de trottoir en trottoir, ce serait ballot que tout ça finisse en joli couloir de frustrations.

Nous vous l'annoncions le 4 juin dernier, Another World : Édition 20e anniversaire arrivera bientôt sur consoles. Et plus précisément sur 3DS, Wii U, PS3, PS4, PS Vita et Xbox One.

Pour rappel, cette nouvelle édition de l'oeuvre culte d'Eric Chahi comprend la version originale ainsi qu'une version remaniée, et permet de passer de l'une à l'autre via un unique bouton (comme dans les HALO Anniversary - oui, je sais, il fallait oser la référence. De plus, cette dernière comporte trois niveaux de difficulté (contre un pour l'original), des trophées / succès, une bande-son remastérisée (avec les musiques de la version Mega-CD, en option) et des graphismes retravaillés.

Dans une interview, récemment publiée sur le PlayStation Blog, Eric Chahi et Martial Hesse-Dréville (développeur et fondateur du studio Dancing Dots) ont donné quelques nouvelles informations sur les versions PlayStation de cette réédition.

Ils nous apprennent tout d'abord que Another World débarquera sur le PlayStation Store dès le 25 juin (mercredi prochain), et qu'il sera à la fois cross-buy et cross-save. Comprenez par là que l'achat sur un support donne accès à toutes les autres versions gratuitement et que l'on pourra poursuivre sa partie quelle que soit la console.

Plus surprenant, ils annoncent que le jeu pourra tourner dans une résolution inhabituelle de 2560 x 1600 pixels (répondant au nom barbare de « WQXGA », pourWide Quad Extended Graphics Array) sur PS4. Chahi avance, en outre, que les animations ont dû être « affinées pour enlever les bords grossiers révélés par l'utilisation d'une résolution si élevée ». Une tâche assez délicate si l'on en croit les deux intéressés. Reste qu'il sera malgré tout difficile d'en prendre plein la vue avec un jeu aussi vieux.

Enfin, terminons en évoquant que le titre arrivera dès demain sur l'eShop 3DS / Wii U et que nous n'avons actuellement aucune information sur la date de sortie de la mouture Xbox One - ou même, de l'éventuelle version Xbox 360.

http://www.jeuxvideo.fr/jeux/another-world-edition-20e-anniversaire/another-world-supports-playstation-date-resolution-2k-cross-buy-cross-save-actu-710363.html#ixzz34zQLsKEy

Les prix s'invitent sur la bêta du PlayStation Now.

Voilà plusieurs mois que Sony nous parle du PlayStation Now, ce système de location de jeux depuis différents appareils (allant d'une console de jeu au simple téléviseur en passant par les smartphones et tablettes). Néanmoins, mis à part une première fuite, aucun prix officiel n'avait été révélé jusqu'à présent.

La bêta du service vient néanmoins de se doter d'une grille tarifaire, et les participants doivent désormais payer pour essayer leurs jeux. Comme prévu, les prix varient en fonction des jeux, mais aussi de la durée de la location. Ainsi, pour Final Fantasy XIII-2 par exemple, la location coûte 4,99 dollars pour 4 heures, 7,99 dollars pour une semaine, 14,99 dollars pour 30 jours et 29,99 dollars pour 90 jours. Guacamelee! de son côté revient à 2,99 dollars pour 4 heures, 5,99 dollars pour une semaine, 7,99 dollars pour 30 jours et 14,99 dollars pour 90 jours.

Les premiers commentaires semblent tous unanimes, jugeant ces prix trop excessifs. Bien sûr, rien ne permet de certifier qu'ils seront définitifs, ni même qu'un abonnement mensuel ne sera pas disponible pour permettre la location d'un certain nombre de jeux par mois (voire de tout le catalogue en illimité). Il faudra donc encore attendre que le PlayStation Now sorte de bêta pour avoir une idée des prix définitifs... et 2015 pour le voir arriver en Europe.

Du point de vue de Chris Early, vice-président de la distribution digitale chez Ubisoft, les joueurs se montrent de moins en moins réfractaires aux différentes propositions en termes de DLC, y compris ceux qui permettent de gagner du temps en échange d'une petite somme d'argent.

Assassin's Creed IV : Black Flag propose par exemple un Collectible Pack qui, pour 0.99 euro, dévoile sur la carte l'emplacement de tous les objets à collectionner. Dans le même genre, un Resources Pack à 1.99 euro permet notamment d'augmenter les capacités de stockage du navire jusqu'à 2500 unités. "Il n'y a pas eu de résistance. Il y a peut-être eu 12 gars quelque part qui ont protesté, mais peu importe. Dans l'ensemble, il n'y a pas eu de problème", déclare Chris Early sur Games Industry.

Pour le porte-parole d'Ubisoft, le silence des contestataires est un signe que l'industrie est en train de trouver le bon équilibre dans le domaine de la monétisation d'un jeu. Et que si les DLC et autres Season Pass sont maintenant "acceptés dans l'ensemble" c'est que pour le joueur, l'impression d'enrichir le jeu est plus importante que l'idée d'être désavantagé s'il ne passe pas (une nouvelle fois) à la caisse. "Ce qu'il faut éviter, c'est de donner l'impression de forcer la main, ou d'être désavantagé si on ne dépense rien."

Si le titre promet d'être extrêmement gore, sachez que nos amis nippons devront se contenter d'une version boîte édulcorée. Ainsi, Tetsu Takahashi, general manager de Zenimax Asie, a précisé à nos confrères de Famitsu que le titre de Mikami serait expurgé de ses scènes les plus violentes afin d'être "simplement" estampillé CERO D, autrement dit "Interdit aux moins de 17 ans". L'homme explique que cette option a été retenue afin de ne pas avoir l'étiquette CERO Z (18 ans et plus) et ainsi toucher un plus large public.



The Evil Within : La version japonaise censuréeIl rajoute également que si les joueurs japonais veulent avoir la version physique non censurée, ils devront télécharger un DLC du nom de "Gore Mode" et informe que ceux qui ont précommandé leur jeu recevront leur exemplaire avec ledit DLC