Jeu vidéo = arnaque ?!

Anarkhya a écrit:Je pense que si on faisait de la rétro ingénierie sur plusieurs blockbusters, on y découvrirait des traces de DLC désactivées.

Je ne pense pas que Capcom marketing Inc. soit le seul éditeur à s’être frotté les mains en songeant à la monétisation d'un "jeu-en-kit-mais-chut-faut-pas-le-dire".

rodi a écrit:Une raison de plus de ne pas acheter la Doom 3 BFG Edition : les niveaux secrets de Doom 2 ont été censurés (les nazis ont disparus) : http://facepunch.com/showthread.php?t=1218935

rodi a écrit:le complete gacha

- l'échange de doublons avec des potes (ou des mecs que tu pouvais pas encaisser mais qui avaient ceux qu'ils te manquaient)

Leatherface a écrit:Du vécu à 200% ça ! Je plussoie

Peut-on réellement ruiner une licence aussi juteuse et addictive que Les Sims ? Aussi étonnant que cela puisse paraître, c'est donc tout à fait possible. Avec Les Sims 4, Electronic Arts signe le même affront qu'avec le dernier SimCity. Si ce n'est ses qualités graphiques et son ergonomie repensée, ce nouveau volet constitue une ahurissante régression vis-à-vis de l'épisode principal des Sims 3, à tel point qu'il paraît difficile pour un joueur fidèle de la série de trouver un sens quelconque à cette plantade. Au final, tous les "oublis", du quartier ouvert aux motifs en passant par les bambins, font passer Les Sims 4 pour une version tronquée, horriblement incomplète. On est à la limite de croire que l'on essaie une démo du jeu final, qui offre beaucoup moins de créativité au joueur que l'épisode précédent. Oui, il y a tout de même des améliorations, notamment le mode Créer un Sim ou encore les nouvelles fonctionnalités du mode Construction, mais cela ne compense absolument pas tout ce qui a été perdu - et l'on ne compare ici qu'avec la version de base des Sims 3, c'est dire. Qu'on se le dise : au prix où est actuellement vendu le précédent et avec tout ce qu'il propose et tout ce qu'on peut lui ajouter avec les extensions, il n'y a aucune raison valable de craquer pour Les Sims 4, qui est certes plus ergonomique mais aussi beaucoup plus creux.

Rien de bien grave nous direz-vous, si ce n’est que la solution est régulièrement pointée du doigt par les joueurs pour son impact sur les performances des jeux. C’est via les conditions d’utilisation des prochains jeux d’Ubisoft et de Square Enix que l’on découvre la présence de Denuvo. Si du côté du piratage le logiciel fait correctement son boulot, de nombreux PCistes déplorent les pertes de performances liées aux ressources supplémentaires mises en œuvre pour l’encryptage en temps réel de ses données.

Déjà à l’œuvre sur Dragon Age Inquisition, Batman Arkham Knight, Star Wars : Battlefront ou encore Just Cause 3, Denuvo aura soulevé bon nombre de plaintes sur leurs forums de discussion respectifs. Sont accusés la consommation importante de ressources de la solution anti-piratage, mais aussi son impact néfaste lié au trop grand nombre d’écritures disque effectuées par le logiciel sur la durée de vie des stockages de type SSD. L’entreprise en charge du produit affirme de son côté que Denuvo n’affecte pas les performances de nos machines et que son nombre d’écritures est maîtrisé afin d’éviter tout souci technique sur les SDD.

Quoi qu’il en soit, il est à noter que même en cas de désinstallation complète des jeux concernés, certains fichiers Denuvo resteront tout de même présents sur nos PC, chose rarement vue d’un très bon œil par la communauté des joueurs PC. Pour conclure, sachez que Tom Clancy's The Division, Deus Ex : Mankind Divided ou encore Mirror's Edge Catalyst devraient eux aussi adopter Denuvo pour se protéger des pirates, ô joie….